Blatter n’était “pas opposé” à la vidéo, mais…

“Je ne suis pas totalement opposé (à l’arbitrage vidéo). Mais seulement quand une technologie permettant de vérifier si le ballon a franchi la ligne de but sera prête à être expérimentée“, déclarait Sepp Blatter au Sonntagsblick en janvier dernier. Oui, Monsieur Blatter, la technologie est prête et s’appelle caméra. Dimanche, tout le monde a pu voir que cela fonctionne bien.

MobileMe fait peau neuve: un gros plus et un grosse réserve

MobileMe a fait peau neuve. Tous les détails ici, entre autres:
www.macgeneration.com/news/voir…

Pour ne parler que du mail, le lifting est plutôt réussi, surtout
qu’une fonction que j’attendais depuis longtemps a été ajoutée: la
possibilité d’envoyer des messages depuis une autre adresse que celle
liée à me.com. Après configuration, on peu choisir un expéditeur
différent, moi@ttoto.com, par exemple.

Send as

Franchement très utile pour centraliser tous ses messages, redirigés
depuis d’autres boites aux lettres. Gmail permet cela depuis longtemps
et je trouvais que c’était un gros manque de MobileMe.

Au chapitre des regrets, le mail de MobileMe ne permet pas de
recherche dans le corps des messages. La recherche ne s’applique qu’au
destinataire, à l’expéditeur ou à l’objet du message. Impossible aussi
d’appliquer la recherche à l’ensemble des dossiers, il faut en
spécifier un. Lorsque l’on est habitué à la recherche globale de
Gmail, ou de Spotlight sur le Mac, c’est un peu – très, même –
frustrant.

Search limit

Mobileme search

 

 

 

Test: premiers tours de roue avec le Merida 96

Voilà tout juste une semaine que j’ai ramené mon nouveau bike à la maison: un Merida 96 Carbon 3000D. Il s’agit du troisième modèle de la gamme, les deux premiers étant assez inaccessibles sur le plan financier, même avec un contrat-coureur. Peut-être pas pour tout le monde, mais pour moi un vélo à 6390 francs suisses (prix catalogue), c’est déjà pas mal. Je me souviens du top absolu de mes débuts, un Alpinestar alu qui sortait à 2000 francs et quelques… OK, c’était il y a bientôt 20 ans, mais tout de même.

A ce prix, le vélo a donc plutôt intérêt à bien fonctionner. Et je n’ai pas été déçu, autant le dire tout de suite, même si certains détails fâchent tout de même un peu (les roues, j’y reviens ci-dessous). Après cinq ans passés sur des VTT semi-rigides, je me dis que c’était peut-être une belle connerie. J’adorais mon K2 Razorback et je ne sais pas très bien pourquoi j’ai voulu changer pour des semi-rigides. Peut-être parce que j’avais un autre excellent vélo tout-suspendu – un K2 Tirade – pour aller me détendre sur les chemins de montagne. Mais comme je l’ai aussi vendu, je me suis retrouvé avec uniquement du semi-rigide en rayon.

Autant dire que je me suis régalé dès les premiers tours de roue avec la suspension arrière du Merida. Une fois le “sag” ajusté, la roue arrière colle au chemin et offre une motricité maximale. Des passages bien techniques (à la montée) se passent aujourd’hui à l’aise alors qu’avec le semi-rigide (même monté en Tubeless gonflés à 2 bar) c’était limite limite. Même au plat, sur un chemin de terre, la suspension démontre son utilité. On pédale au calme, sans rebondir à la moindre inégalité du terrain. Pour ce qui est de la descente, no comment, il n’y a pas photo.

Voilà, après une centaine de kilomètres, ce Merida me semble très bien né et m’a déjà fait oublier le Specialized marathon de l’an dernier, même avec un kilo de plus sur la balance. Ce dernier point peut en outre être largement amélioré en changeant les roues, plutôt lourdes, surtout à l’arrière. La roue avant d’origine du Merida (Jante DT, moyeu DT 1900, non tubeless) avec son pneu Schwalbe Rocket Ron (450 gr) et sa chambre à air Maxxis (95 gr) pèse autant que la Crossmax SLR montée avec un Tubeless Maxxis Crossmark et son  liquide préventif. A l’arrière c’est encore pire, la roue Tubeless est 200 gr plus légère que la roue DT d’origine du Merida…

Là où c’est un peu fâcheux, c’est que ces roues, lourdes à la base, sont équipées de pneumatiques légers et des chambres à air trop légères. Surtout sur un vélo en taille L… Vous ne pensez tout de même pas que je pèse moins de 70 kg, non? J’en suis loin avec mes 183 cm. La sanction est immédiate: crevaison par pincement dès la 3e sortie. Juste pas admissible sur un vélo à ce prix. Je ne demande pas des Crossmax montées en Tubeless, mais au-moins une monte qui supporte le tout-terrain… Bon, de mon côté, c’est réglé puisque j’ai monté les Crossmax SLR achetée l’an dernier. Bien fait de les garder…

Pixelpipe – Un test du distributeur de contenus

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Pixelpipe vous permet de poster textes, images, vidéos et sons à un seul endroit. Le service se charge ensuite de le redistribuer vers vos différents comptes: Flick’r, Twitter, Facebook, YouTube… et des dizaines d’autres. Ce post est juste un essai du service, qui peut rapidement devenir redondant selon les configurations mises en place ailleurs.

Stocker et référencer ses cassettes vidéo avec iDive? Non, iMovie.

Voilà quelques années, j’avais entrepris de référencer mes cassettes vidéo DV avec iDive, le programme d’Aquafadas. Puis j’ai davantage photographié que filmé mes enfants et iDive a vieilli, je n’ai jamais consulté cet index. Jusqu’à ces derniers jours.

Sur le principe, iDive est séduisant: le programme capture une image de votre bande vidéo à intervalles réguliers (que l’on peut ajuster). On a ainsi un aperçu du contenu de sa cassette vidéo, sans la sortir de son armoire. Mots clés et autres favoris permettent de retrouver des scènes particulières et de les recapturer depuis la bande. Voilà pour la théorie.

Premier problème: j’ai changé d’ordinateur et iDive est repassé du coup en mode démo. Impossible de réactiver sans redemander une clé d’enregistrement à l’éditeur. Réponse rapide, mais c’est tout de même pénible. J’ai payé et c’est moi qui suis ennuyé.

Deuxième problème, la clé ne fonctionne pas. Il me faut mettre à jour vers la dernière version de iDive 1, qui est depuis passé en version 2. Tant qu’à faire, je paie la mise à jour vers la Version2.

Allégé de 29 euros supplémentaires, mais bien décidé à plonger dans ma collection, je me lance dans l’importation de ma bibliothèque existante. Sans trop de problèmes, jusqu’à ce que l’application plante une première fois. Pas moyen d’enregistrer son travail à mesure, iDive enregistre les bibliothèques lorsque l’on quitte. En cas de plantage, tout est foutu. Pire, tout a été corrompu suite à quelques modifications de noms de conteneurs (du genre Cassette 10 > Cassette 10 – Journée à skis 2006) qui n’ont pas été reconnues à la réouverture de iDiv

De rage, j’ai tout effacé, décidé de tout refaire à neuf. Ma nouvelle machine permettant une indexation plus précise (en enregistrant une image toutes les deux secondes plutôt que dix) de ma trentaine de cassettes. Une cassette, deux, trois. Quitter pour enregistrer. Quatre et… plantage en fin de bande. Une heure de foutue. J’ai donné encore une dernière chance à iDive, avec la même cassette. Pas mieux. Plantage en fin de bande, ballon de plage de la mort qui tue.

Il me fallait trouver autre chose.

Et pourquoi pas iMovie 09? Je vous vois venir… iMovie ne permet pas de capturer des extraits, uniquement la vidéo complète. C’est vrai, c’est un inconvénient, qui peut se muer en avantage.

Avec l’option “automatique”, iMovie rembobine la cassette, importe le film et rembobine à nouveau.

Une heure de vidéo au format DV “pèse” un peu moins de 13 Gb. Un disque dur externe de 1 Tb (1024 Gb) se trouve pour 120 francs suisses (82 Euros au cours du jour) et permet de stocker quelque 80 heures de vidéo DV (80 cassettes de 60 minutes, donc). Soit environ 1,5 franc (1 euro) par heure de vidéo. La “Bibliothèque d’événements” stocke vos rushes, en les classant par date. Vous pouvez y ajouter des mots clés.

L’avantage? Pour le prix – même si dans mon cas c’est trop tard – d’une licence iDive (79 €), j’ai un disque dur qui me permet de stocker 80 heures de vidéo et de les classer avec iMovie, livré avec mon Mac Mini.

iMovie est certes moins puissant pour le catalogage et l’attribution de mots clés (mais cela peut même se discuter). Sa fonction d’import automatique (rembobinage, importation et rembobinage) permet de vaquer à d’autres occupations pendant qu’il travaille en tâche de fond. Mais, surtout, les fichiers sont tous présents, prêts au montage. Et, si vous êtes vraiment en manque de place et en présence de plans totalement inutiles, vous pouvez toujours les supprimer.

Pour l’heure, j’en suis à une quinzaine d’heures de vidéo importées dans iMovie, et ça roule.

Mon choix est fait. iMovie a fait plonger iDive (un peu facile, je sais) dans les profondeurs de mon ordinateur.