Blatter n’était “pas opposé” à la vidéo, mais…

“Je ne suis pas totalement opposé (à l’arbitrage vidéo). Mais seulement quand une technologie permettant de vérifier si le ballon a franchi la ligne de but sera prête à être expérimentée“, déclarait Sepp Blatter au Sonntagsblick en janvier dernier. Oui, Monsieur Blatter, la technologie est prête et s’appelle caméra. Dimanche, tout le monde a pu voir que cela fonctionne bien.

MobileMe fait peau neuve: un gros plus et un grosse réserve

MobileMe a fait peau neuve. Tous les détails ici, entre autres:
www.macgeneration.com/news/voir…

Pour ne parler que du mail, le lifting est plutôt réussi, surtout
qu’une fonction que j’attendais depuis longtemps a été ajoutée: la
possibilité d’envoyer des messages depuis une autre adresse que celle
liée à me.com. Après configuration, on peu choisir un expéditeur
différent, moi@ttoto.com, par exemple.

Send as

Franchement très utile pour centraliser tous ses messages, redirigés
depuis d’autres boites aux lettres. Gmail permet cela depuis longtemps
et je trouvais que c’était un gros manque de MobileMe.

Au chapitre des regrets, le mail de MobileMe ne permet pas de
recherche dans le corps des messages. La recherche ne s’applique qu’au
destinataire, à l’expéditeur ou à l’objet du message. Impossible aussi
d’appliquer la recherche à l’ensemble des dossiers, il faut en
spécifier un. Lorsque l’on est habitué à la recherche globale de
Gmail, ou de Spotlight sur le Mac, c’est un peu – très, même –
frustrant.

Search limit

Mobileme search

 

 

 

Pixelpipe – Un test du distributeur de contenus

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Pixelpipe vous permet de poster textes, images, vidéos et sons à un seul endroit. Le service se charge ensuite de le redistribuer vers vos différents comptes: Flick’r, Twitter, Facebook, YouTube… et des dizaines d’autres. Ce post est juste un essai du service, qui peut rapidement devenir redondant selon les configurations mises en place ailleurs.

Stocker et référencer ses cassettes vidéo avec iDive? Non, iMovie.

Voilà quelques années, j’avais entrepris de référencer mes cassettes vidéo DV avec iDive, le programme d’Aquafadas. Puis j’ai davantage photographié que filmé mes enfants et iDive a vieilli, je n’ai jamais consulté cet index. Jusqu’à ces derniers jours.

Sur le principe, iDive est séduisant: le programme capture une image de votre bande vidéo à intervalles réguliers (que l’on peut ajuster). On a ainsi un aperçu du contenu de sa cassette vidéo, sans la sortir de son armoire. Mots clés et autres favoris permettent de retrouver des scènes particulières et de les recapturer depuis la bande. Voilà pour la théorie.

Premier problème: j’ai changé d’ordinateur et iDive est repassé du coup en mode démo. Impossible de réactiver sans redemander une clé d’enregistrement à l’éditeur. Réponse rapide, mais c’est tout de même pénible. J’ai payé et c’est moi qui suis ennuyé.

Deuxième problème, la clé ne fonctionne pas. Il me faut mettre à jour vers la dernière version de iDive 1, qui est depuis passé en version 2. Tant qu’à faire, je paie la mise à jour vers la Version2.

Allégé de 29 euros supplémentaires, mais bien décidé à plonger dans ma collection, je me lance dans l’importation de ma bibliothèque existante. Sans trop de problèmes, jusqu’à ce que l’application plante une première fois. Pas moyen d’enregistrer son travail à mesure, iDive enregistre les bibliothèques lorsque l’on quitte. En cas de plantage, tout est foutu. Pire, tout a été corrompu suite à quelques modifications de noms de conteneurs (du genre Cassette 10 > Cassette 10 – Journée à skis 2006) qui n’ont pas été reconnues à la réouverture de iDiv

De rage, j’ai tout effacé, décidé de tout refaire à neuf. Ma nouvelle machine permettant une indexation plus précise (en enregistrant une image toutes les deux secondes plutôt que dix) de ma trentaine de cassettes. Une cassette, deux, trois. Quitter pour enregistrer. Quatre et… plantage en fin de bande. Une heure de foutue. J’ai donné encore une dernière chance à iDive, avec la même cassette. Pas mieux. Plantage en fin de bande, ballon de plage de la mort qui tue.

Il me fallait trouver autre chose.

Et pourquoi pas iMovie 09? Je vous vois venir… iMovie ne permet pas de capturer des extraits, uniquement la vidéo complète. C’est vrai, c’est un inconvénient, qui peut se muer en avantage.

Avec l’option “automatique”, iMovie rembobine la cassette, importe le film et rembobine à nouveau.

Une heure de vidéo au format DV “pèse” un peu moins de 13 Gb. Un disque dur externe de 1 Tb (1024 Gb) se trouve pour 120 francs suisses (82 Euros au cours du jour) et permet de stocker quelque 80 heures de vidéo DV (80 cassettes de 60 minutes, donc). Soit environ 1,5 franc (1 euro) par heure de vidéo. La “Bibliothèque d’événements” stocke vos rushes, en les classant par date. Vous pouvez y ajouter des mots clés.

L’avantage? Pour le prix – même si dans mon cas c’est trop tard – d’une licence iDive (79 €), j’ai un disque dur qui me permet de stocker 80 heures de vidéo et de les classer avec iMovie, livré avec mon Mac Mini.

iMovie est certes moins puissant pour le catalogage et l’attribution de mots clés (mais cela peut même se discuter). Sa fonction d’import automatique (rembobinage, importation et rembobinage) permet de vaquer à d’autres occupations pendant qu’il travaille en tâche de fond. Mais, surtout, les fichiers sont tous présents, prêts au montage. Et, si vous êtes vraiment en manque de place et en présence de plans totalement inutiles, vous pouvez toujours les supprimer.

Pour l’heure, j’en suis à une quinzaine d’heures de vidéo importées dans iMovie, et ça roule.

Mon choix est fait. iMovie a fait plonger iDive (un peu facile, je sais) dans les profondeurs de mon ordinateur.

De l’utilité du nuage pour abriter ses données

Comme je me charge à titre bénévole de la publication du site web de l’association de promotion du don d’organes A Cœur ouvert, j’hérite aussi des petits soucis informatique de son président. Ce dernier a égaré son iPhone avec lequel il faisait presque tout. Ses emails partaient 99 fois sur 100 du téléphone et non d’un ordinateur. D’où la petite panique lors de la perte du téléphone.

 

Heureusement, sa boîte mail est une Gmail, configurée en IMAP. Comme son nouveau téléphone tourne sous Android, le système d’exploitation pour téléphones mobile de Google, aucun problème pour resynchroniser la chose. Toujours aussi facile pour récupérer les adresses depuis Carnet d’adresses de Mac OS X et les importer dans les contacts de Gmail.

 

Les seules données irrécupérables ont été celles du calendrier iCal, présent sur l’iPhone, mais jamais synchronisées avec son jumeau sur le mac. Désormais, le bonhomme utilise aussi Google Calendar.

Désormais, courriels, contacts et agenda sont stockés dans le “nuage” Google, accessibles depuis n’importe où avec une connexion au net.

 

On peut toujours deviser sur le danger de mettre tous ses oeufs dans le même panier, chez le tentaculaire Google de surcroît. En l’occurence, le service de Google a démontré son utilité et son bon fonctionnement. Le tout gratuitement. Quant à la sécurité des données, rien ne me dit qu’elle soit mieux assurée ailleurs, même avec des offres payantes. Ou me trompe-je?