@david_bosman Merci. En fait j’ai trouvé Wordcounter qui fait ce dont j’ai besoin pour me limiter à 260 signes.
Catégorie : Quotidien
Petit essai de Post…erous avec tag
Onze élèves du CO de Collombey-Muraz vont être dénoncés au juge des mineurs pour avoir participé sur la plate-forme Facebook à un groupe se moquant du poids d’une enseignante. Cette dernière y figurait nommément, photographiée de dos, à son insu.
Pourquoi cet (ou cette?) iPad me plaît déjà
Souvenez-vous, en 1998 Apple est à l’agonie. Mais Steve Jobs est de retour aux commandes depuis queques temps et la Pomme lance le premier iMac. Tout le monde se marre. Un ordinateur qui ressemble à un jouet. Et qui n’a même pas de lecteur de disquette. Le spécialistes crient à la folie. Quelques mois plus tôt, Michael Dell, patron de la firme éponyme, conseillait même à Apple de fermer boutique et de rendre l’argent aux actionnaires. Aujourd’hui, Apple vaut sept fois Dell.
Souvenez-vous encore. En 2001, Apple présente le premier iPod. Ce n’est pas le premier lecteur de mp3. Il ne permet même pas d’écouter la radio. Les «geeks» crient à nouveau à la folie. Aujourd’hui, iPod est presque devenu un terme générique pour dire «lecteur de musique».
Puis on a encore vu arriver l’iPhone. Encore un objet qui ne faisait rien de nouveau. Téléphoner, surfer sur le net, consulter ses mails, écouter de la musique, tout cela était déjà possible avec les téléphones mobiles existants. Mais qui surfait vraiment sur le net avec son téléphone?
La force de la marque à la pomme est d’avoir su rendre la technologie accessible, de la rendre totalement intuitive et transparente. Observez un enfant de quatre ans qui s’empare de l’iPhone de ses parents – je sais de quoi je parle. Il ne sait pas lire, mais est tout à fait à l’aise pour lancer un jeu ou faire défiler des images.
Et ce fameux iPad alors? Comme toutes les autres créations Apple, il lui manque plein de choses: pas de port USB, pas de caméra, il ne lit pas les animations Flash, il est plus gros qu’un iPod et moins puissant qu’un ordinateur, sa mémoire est trop faible. Et bien tant mieux. Parce que ce n’est pas ce qui manque qui le fait fonctionner, mais tout le reste.
Personnellement, depuis que je dispose d’un iPhone, je me sers beaucoup moins de mes ordinateurs, un Mac Mini et un vieux Powerbook G4. Le Mac Mini est installé dans un coin de la maison, à l’écart de la tribu. Pratique pour bosser, mais pour juste consulter et répondre à quelques mails depuis le salon en surveillant du coin de l’œil les jeux des enfants, c’est pas top. L’iPhone, c’est mieux. Mais tout de même un peu petit parfois.
Rien que pour cela, je risque d’adorer l’iPad. Pour surfer sur le net et consulter mes sites et journaux favoris depuis le fauteuil du salon (moins cher que celui de Steve Jobs durant la présentation de la tablette), je ne vois pas mieux. Si en plus elle me sert d’agenda, de cadre photo transportable, de lecteur vidéo et de livre électronique, moi, ça me va. Pour les autres usages, je fais confiance aux développeurs. Qui aurait pu prédire ce qu’allait devenir l’iPhone à sa sortie?
Et là, je me dis que j’ai vraiment bien fait d’offrir une Wii à mes enfants. Il laisseront l’iPad tranquille au-moins pendant… la première demi-heure. On parie?
MàJ – L’iPad est disponible en précommande en Suisse, dès 699 francs.
En images (photos DR) ci-dessous: l’iMac (1998), l’iPod (2001) et l’iPhone (2007).
Gmail, Google Docs et moi…
J’adore Gmail et je suis en train de me laisser séduire par Google Docs. Le seul truc qui me chicane, c’est évidemment d’avoir plein de documents chez Google, sans savoir ce qu’il peut vraiment en faire. Mais comme je n’y place pas de grands secrets, cela ne me semble pas trop grave.
Je ne m’étendrai pas sur Gmail et son interface un peu surprenante au premier abord et son système de libellés. Pourtant, difficile de s’en passer une fois que l’on y a goûté.
Ce qui m’intéresse aujourd’hui, c’est le lien entre Gmail et Google Docs, le système de stockage et de rédaction en ligne (en même hors connexion, moyennant une petite manipulation) de documents texte, tableurs et même présentation à la Powerpoint. Au boulot je stocke les PVs de séances et autre modes d’emploi partagés (ce partage étant l’un des nombreux atouts de G Docs) sur Google docs.
Dans le cadre de mon travail je reçois environ 20 à 30 emails quotidiens demandant un traitement quelconque. Dans le lots des communiqués de presse (accidents de la circulation, informations de l’Etat du Valais), qui demandent quelques retouches avant leur mise en ligne. Et plutôt que de télécharger le document, de l’ouvrir dans un traitement de texte, de le retoucher puis de coller le résultat dans notre système de publication sur internet, je demande à Gmail d’ouvrir la pièce jointe en html.
Je copie et colle ensuite le texte dans le système, le corrige avant publication et hop, le tour est joué, sans quitter le navigateur internet. C’est surtout ce dernier point qui me fait gagner pas mal de temps.
Et si le document en question mérite un archivage, je clique simplement sur “ouvrir en tant que document Google” et c’est réglé. Toujours sans quitter le navigateur. Le module “Documents” peut paraître un peu fruste, mais il suffit amplement aux besoins courants et l’outil “Nombre de mots” (que l’on peut appeler par un raccourci clavier) est même nettement pus détaillé que celui de Word.
En résumé, j’ouvre vingt fois le module Google Docs pour un lancement de Word, et encore…