Un peu de ménage dans mes images

J’ai longtemps utilisé Flickr pour quelques archives et partages de photos en ligne. Mais l’augmentation des tarifs, notamment pour les associations, et mes difficultés à trouver une organisation qui me convienne entre images privées, publiques et partagées, m’ont incité à utiliser les services de Smugmug (qui a d’ailleurs racheté Flickr).

Mais là, malgré toutes les qualités de la plateforme, c’était un peu «too much» pour mes modestes besoins: publier quelques galeries en ligne et en partager d’autres en mode «privé», par exemple avec un groupe de jeunes vététistes du Vélo Club Excelsior de Martigny, ou des amis.

J’ai ainsi tenté une installation de Piwigo sur mon hébergement web existant, ce qui fut assez facile avec l’installateur automatique prévu par mon hébergeur, Swisscenter.

Aujourd’hui, la plupart des galeries sont en ligne, «chez moi» et Piwigo est ma foi assez puissant, notamment pour régler les droits d’accès aux différentes galeries. Jusqu’ici, tout va bien 😉
Je garde tout de même Pixelfed pour le côté « social».

Retour du blog “à la maison”

Ceci était mon premier blog (enfin, je ne sais plus trop si j’ai commencé avec bikinvalais.ch ou cet espace plus personnel voilà une quinzaine d’années) et il a connu diverses “maisons”.

Déjà sous joakim.faiss.com, puis sur un hébergement micro.blog (micro.faiss.com), une plateforme fort sympathique et efficace, mais une de plus…

J’ai donc décidé de le rapatrier “chez moi”. Propulsé par WordPress, avec un thème simple et sans fioritures, le but étant de publier mes billets en toute simplicité. Celui-ci étant une sorte de rappel à moi-même 😉

Retour à Obsidian

Obsidian pour écrire et avoir des fichiers synchronisés entre Mac, Linux, iPhone et iPad, je pense que c’est difficile de faire plus puissant et efficace. Je suis les traces de Thierry Crouzet.

De plus, comme j’avais un compte “early bird”, la synchronisation par les serveurs d’Obsidian coûte 24$ par an, soit moins de 2 francs suisses par mois. Je prends, pour la simplicité et la tranquillité d’esprit.

 

L’intelligence artificielle pour les images de vélo…

Instruction: « Une personne faisant de la mécanique sur son vélo ». Le résultat fait un peu peur tout de même…

Elle fait quoi la dame exactement sur ce vélo au cadre un peu étrange?

Ai bike bofbof 4.

Et lui, je ne sais pas ce qu’il va visser avec son air bizarre…

Ai bike bofbof 3.

La chaîne, à cet endroit, ça va faire mal…

Ai bike bofbof 2.

Quelqu’un va se casser la figure avec ce vélo et après cette intervention…

Ai bike bofbof 1.

Bref, le vélo est un engin simple, mais encore trop compliqué pour l’IA qui n’a rien d’intelligent 😉 

Pourquoi les appareils photo ne disposent-ils pas d’une puce GPS?

« Le marché s’effondre par ses deux bouts : le prix moyen des compacts s’envole certes à 240 €, sous l’effet du succès des compacts “experts”, mais celui des reflex atteint péniblement 330 €. Les appareils mirrorless représentent le seul horizon d’une industrie broyée par le smartphone.»

Personnellement, j’aime bien avoir un compact en plus de mon téléphone quand je voyage à vélo. Le téléphone me sert pour afficher la carte et il est branché sur une batterie externe, sinon il ne tient pas la journée. Et c’est assez pénible de le débrancher tout le temps pour prendre des photos. Sans parler de son usage avec des gants.

Le seul truc qui me manque vraiment sur mon compact, c’est la localisation des images. Pratique pour retrouver des images par lieux et les afficher sur la carte de mon parcours. Mais, les appareils dotés d’une puce GPS sont extrêmement rares. C’est si compliqué d’ajouter une puce présente dans tous les téléphones?

Article original: Les fabricants d’appareils photo vendent toujours moins, toujours plus cher | MacGeneration

Twitter en lecture seule

Je n’ai pas encore bouclé mon compte Twitter, peut-être par nostalgie, mais ça ne saurait tarder. Entre-temps, je passe en mode «consultation», bien aidé par @netnewswire qui permet de s’abonner à son flux, mais aussi a des comptes particuliers. Twitter sans le bruit en quelque sorte.

Capture d'écran du logiciel Netnewswire sur Mac.

Un objectif compact pour mon Lumix

Aujourd’hui, j’ai réceptionné le nouveau petit jouet pour mon Lumix G80 (ou 81 selon les pays). Ce dernier, un hybride au format 4/3 est venu épauler mon compact Lumix LX7, l’an dernier. Ce LX7 commence à dater un peu (2013) avec son capteur 1’’ et tout ne fonctionne plus très bien, mais j’aime bien l’emmener pour les sorties à vélo plutôt que de faire confiance au seul téléphone, qui ne dispose pas de zoom et est plus limité en basse lumière. Avec ses 300 petits grammes et sa construction robuste, il passe à l’aise dans une poche de maillot.

Le Lumix LX7, un compagnon fidèle, mais un peu marqué par les ans.
Continuer la lecture de « Un objectif compact pour mon Lumix »

Message laconique de Mobile Me – Merci Dropbox

Mobile me
 
J’aime bien Apple, mais quand le programme de gestion d’images Aperture me donne ce genre de message lorsque je veux publier une galerie sur Mobile Me (Apple aussi), j’aime moins.
 
Heureusement, il y a Dropbox. Un export depuis Aperture dans le dossier Dropbox et ça se publie tout seul. La galerie est certes moins jolie que sur Mobile Me, mais elle a le mérite d’exister, elle.

Pixelpipe – Un test du distributeur de contenus

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Pixelpipe vous permet de poster textes, images, vidéos et sons à un seul endroit. Le service se charge ensuite de le redistribuer vers vos différents comptes: Flick’r, Twitter, Facebook, YouTube… et des dizaines d’autres. Ce post est juste un essai du service, qui peut rapidement devenir redondant selon les configurations mises en place ailleurs.

Stocker et référencer ses cassettes vidéo avec iDive? Non, iMovie.

Voilà quelques années, j’avais entrepris de référencer mes cassettes vidéo DV avec iDive, le programme d’Aquafadas. Puis j’ai davantage photographié que filmé mes enfants et iDive a vieilli, je n’ai jamais consulté cet index. Jusqu’à ces derniers jours.

Sur le principe, iDive est séduisant: le programme capture une image de votre bande vidéo à intervalles réguliers (que l’on peut ajuster). On a ainsi un aperçu du contenu de sa cassette vidéo, sans la sortir de son armoire. Mots clés et autres favoris permettent de retrouver des scènes particulières et de les recapturer depuis la bande. Voilà pour la théorie.

Premier problème: j’ai changé d’ordinateur et iDive est repassé du coup en mode démo. Impossible de réactiver sans redemander une clé d’enregistrement à l’éditeur. Réponse rapide, mais c’est tout de même pénible. J’ai payé et c’est moi qui suis ennuyé.

Deuxième problème, la clé ne fonctionne pas. Il me faut mettre à jour vers la dernière version de iDive 1, qui est depuis passé en version 2. Tant qu’à faire, je paie la mise à jour vers la Version2.

Allégé de 29 euros supplémentaires, mais bien décidé à plonger dans ma collection, je me lance dans l’importation de ma bibliothèque existante. Sans trop de problèmes, jusqu’à ce que l’application plante une première fois. Pas moyen d’enregistrer son travail à mesure, iDive enregistre les bibliothèques lorsque l’on quitte. En cas de plantage, tout est foutu. Pire, tout a été corrompu suite à quelques modifications de noms de conteneurs (du genre Cassette 10 > Cassette 10 – Journée à skis 2006) qui n’ont pas été reconnues à la réouverture de iDiv

De rage, j’ai tout effacé, décidé de tout refaire à neuf. Ma nouvelle machine permettant une indexation plus précise (en enregistrant une image toutes les deux secondes plutôt que dix) de ma trentaine de cassettes. Une cassette, deux, trois. Quitter pour enregistrer. Quatre et… plantage en fin de bande. Une heure de foutue. J’ai donné encore une dernière chance à iDive, avec la même cassette. Pas mieux. Plantage en fin de bande, ballon de plage de la mort qui tue.

Il me fallait trouver autre chose.

Et pourquoi pas iMovie 09? Je vous vois venir… iMovie ne permet pas de capturer des extraits, uniquement la vidéo complète. C’est vrai, c’est un inconvénient, qui peut se muer en avantage.

Avec l’option “automatique”, iMovie rembobine la cassette, importe le film et rembobine à nouveau.

Une heure de vidéo au format DV “pèse” un peu moins de 13 Gb. Un disque dur externe de 1 Tb (1024 Gb) se trouve pour 120 francs suisses (82 Euros au cours du jour) et permet de stocker quelque 80 heures de vidéo DV (80 cassettes de 60 minutes, donc). Soit environ 1,5 franc (1 euro) par heure de vidéo. La “Bibliothèque d’événements” stocke vos rushes, en les classant par date. Vous pouvez y ajouter des mots clés.

L’avantage? Pour le prix – même si dans mon cas c’est trop tard – d’une licence iDive (79 €), j’ai un disque dur qui me permet de stocker 80 heures de vidéo et de les classer avec iMovie, livré avec mon Mac Mini.

iMovie est certes moins puissant pour le catalogage et l’attribution de mots clés (mais cela peut même se discuter). Sa fonction d’import automatique (rembobinage, importation et rembobinage) permet de vaquer à d’autres occupations pendant qu’il travaille en tâche de fond. Mais, surtout, les fichiers sont tous présents, prêts au montage. Et, si vous êtes vraiment en manque de place et en présence de plans totalement inutiles, vous pouvez toujours les supprimer.

Pour l’heure, j’en suis à une quinzaine d’heures de vidéo importées dans iMovie, et ça roule.

Mon choix est fait. iMovie a fait plonger iDive (un peu facile, je sais) dans les profondeurs de mon ordinateur.