Fini de lire ce très beau roman de Jean-Baptiste Andrea. La rencontre de deux mondes, entre Mimo, un sculpteur de pierre orphelin et d’origine très modeste et Viola, une femme “debout“, d’une famille richissime du nord de l’Italie.
Le tableau d’un pays et d’une partie du 20e siècle aussi, où les protagonistes naviguent tant bien que mal entre tradition, religion et montée du fascisme.
Une période que l’on croyait oubliée mais qui se rappelle à nous en ces temps troubles avec le réveil de certaines idées portées par des individus qui bougent encore…