Les dépassements: typologie d’automobilistes

Selon la loi, sur la route les dépassements (même et surtout de personnes à vélo) ne doivent se faire que lorsque toutes les conditions de sécurité sont réunies. C’est évidemment loin d’être toujours le cas et il y a plusieurs genres d’automobilistes.

  • Celui ou celle qui te frôle sans ralentir: un·e abruti·e de première classe.
  • Celui qui ralentit, patiente parfois, mais te frôle quand même: un ignorant pas malveillant.
  • Celui qui ralentit, patiente un peu, dépasse correctement, mais fait vrombir son moteur pour accélérer comme un fou: un bobet qui respecte les règles, mais pas toi et veut te faire comprendre que tu l’emmerdes sur «sa» route.
  • Celui qui ralentit, attend s’il le faut et te double bien au large: souvent un Espagnol, merci à lui et à tous les autres qui font pareil.

Imposition des couples mariés: le débat est “chaud”

«Le Centre et l’UDC voient dans cette réforme “absurde” une atteinte au modèle traditionnel du couple avec un seul revenu. Sans parler des pertes fiscales engendrées pour les cantons.»

«Sans parler des pertes fiscales engendrées». Ils ont donc bien conscience que les couples mariés paient davantage que ceux qui ne le sont pas. Drôle de manière de soutenir ce “modèle traditionnel” en le pénalisant financièrement.

En Suisse, si tu es marié, tu paies plus d’impôts, mais tu touches une rente réduite à la retraite. Double peine.

Article original sur le site de la RTS

Suprenant, cet Apple Photos

Ces derniers temps, j’ai souhaité me «déconnecter» quelque peu, notamment de certains services «cloud» pour réintroduire un peu de lenteur et de distance avec plein de choses. Ainsi, j’ai rapatrié et regroupé (grâce à Power Photos, une application assez remarquable aussi) une bonne partie de mes images dans une bibliothèque Apple Photos locale. La bibliothèque iCloud ne me sert plus qu’à enregistrer/synchroniser un petit mois d’images faites avec le téléphone.

Même si mes images sont toutes archivées sur un disque externe avec des dossiers et sous-dossiers par mois et années, j’ai conservé cette bibliothèque Photos locale qui compte à ce stade plus de 50 000 images pour un poids de plus de 525 Go.

J’avais un peu peur d’un tel volume, mais suis assez bluffé par la capacité de Photos gérer cela. Le démarrage de la bibliothèque est instantané (sur un MacStudio M1 Max comme sur un iMac M1) et le fonctionnement est d’une fluidité remarquable. Aucune lenteur, aucun accroc, pas d’attente de vignettes à générer, rien.

Alors oui, ou non, on ne sait pas vraiment comment Photos stocke ses images dans sa bibliothèque. Mais son interface est tellement simple et fluide pour gérer les images que je me moque un peu de son organisation interne.

Je suis d’ailleurs tellement bluffé par les performances de catalogage de Photos que je me suis lancé dans l’indexation (sans importer les images dans la bibliothèque, mais en les référençant, comme le feraient Lightroom ou Peakto) de toutes les images sur mon disque externe. Un bon paquet depuis le début des années 2000. Work in progress…

Synchroniser un disque local avec un emplacement en ligne (Infomaniak kDrive), c’est simple… Jusqu’au jour où tu changes de disque local, faute de place sur l’ancien.

Alors oui, il y a deux To de données, mais c’est toujours un peu flippant quand rien n’a l’air de bouger et que tu ne sais pas si le système est en train de te créer des doublons partout.

Un jour, je vais parler du stationnement vélo dans les gares CFF en Valais. Je risque de ne pas être très sympa. Note à moi-même : faire le lien avec le stationnement dans les immeubles.

Apple Photos

Migration en cours de ma photothèque iCloud vers une bibliothèque d’archives locale, grâce à PowerPhotos. Ça marche vraiment bien. Et la bibliothèque Photos d’Apple est à mon avis terriblement sous-cotée. En ce moment, elle contient 42748 photos et 886 vidéos pour quelque 440 gigas de données. L’ouverture est instantanée sur mon MacStudio et le fonctionnement d’une fluidité remarquable.

Veiller sur elle

Fini de lire ce très beau roman de Jean-Baptiste Andrea. La rencontre de deux mondes, entre Mimo, un sculpteur de pierre orphelin et d’origine très modeste et Viola, une femme “debout“, d’une famille richissime du nord de l’Italie.

Le tableau d’un pays et d’une partie du 20e siècle aussi, où les protagonistes naviguent tant bien que mal entre tradition, religion et montée du fascisme.

Une période que l’on croyait oubliée mais qui se rappelle à nous en ces temps troubles avec le réveil de certaines idées portées par des individus qui bougent encore…

Veiller sur elle.