Quand tu penses qu’il y a juste deux planches pourries à remplacer, et que le problème s’avère un poil plus compliqué…


Une vie de cycliste, avec et sans vélo.
Quand tu penses qu’il y a juste deux planches pourries à remplacer, et que le problème s’avère un poil plus compliqué…
Neige en plaine, arbres cassés et écoles fermées… On se souviendra du 17 avril 2025 à mon avis.
Inauguration de l’Auberge de Jeunesse de Martigny-Bourg samedi dernier et photo des mascottes Barry et Taneli (je suis l’une des deux ;-)) avec la gérante Anouk Moret. Que ne ferait-on pas pour sa belle sœur?
Depuis que j’ai supprimé les pastilles de notifications des applications de mon smartphone, j’y passe beaucoup moins de temps. Je n’interromps plus tout ce que suis en train de faire juste parce qu’une notification surgit à l’écran ou qu’un point rouge s’ajoute à l’icône d’une application. J’ai même découvert aujourd’hui que je pouvais regrouper les notifications pour les faire délivrer à l’heure, ou aux heures, de mon choix. J’ai défini 10h, 15h et 20h. Trois fois par jour, ça doit suffire pour me faire déranger, les urgences et messages directs passant au travers de ce filtre.
Je vais ainsi consulter mes flux RSS, la timeline de Mastodon ou le site d’un média en ligne uniquement lorsque j’ai un peu de temps à tuer. Un peu comme si j’ouvrais un livre.
Pareil pour le téléphone: je ne réponds pas systématiquement aux appels, surtout si le numéro de l’appelant m’est inconnu. En quoi seraient-ils plus importants que ce que je suis en train de faire? Les gens peuvent me laisser un message si c’est important et je les rappellerai rapidement. Sinon, je les rappellerai aussi, mais moins rapidement. Après avoir fini ce que je suis en train de faire.
Simple, basique. Et des journées plus calmes, un peu à l’écart de l’effervescence des réseaux sociaux.
Ciel gris et petite pluie fine, l’abruti habituel qui te frôle sur la route entre Fully et Saxon, le train qui circule avec douze minutes de retard… pas de doute, c’est lundi matin.
Le carnaval est derrière et tout le monde a repris le travail. Ainsi que la voiture pour y aller et en revenir. Quel enfer la circulation en ville de Sion. Pour ceux qui ne sont pas à vélo, donc 😉
Panne de batterie dans la commande de dérailleur. Ce qui laisse le temps d’admirer les bulbocodes.
Fini de lire ce très beau roman de Jean-Baptiste Andrea. La rencontre de deux mondes, entre Mimo, un sculpteur de pierre orphelin et d’origine très modeste et Viola, une femme “debout“, d’une famille richissime du nord de l’Italie.
Le tableau d’un pays et d’une partie du 20e siècle aussi, où les protagonistes naviguent tant bien que mal entre tradition, religion et montée du fascisme.
Une période que l’on croyait oubliée mais qui se rappelle à nous en ces temps troubles avec le réveil de certaines idées portées par des individus qui bougent encore…
Biscuits de Noël le matin (Leckerlis bâlois, selon la recette de ma grand-mère), balade avec les bouquetins l’après-midi. Ça doit ressembler à ça, la belle vie…
J’ai demandé à la lune… de m’accompagner. Velotaf hivernal par -7 degrés hier matin, mais belle ambiance.