Mon MacBook Air de janvier 2013 (tout de même) commençait à bien ramer depuis quelque temps et je ne l’utilisais plus trop. Plus du tout même. Au pout que je me suis dit que je pourrais essayer d’y installer Linux.
Ce fut assez facile même avec Linux Mint. Je retrouve mes fichier synchronisés avec kDrive d’Infomaniak et éditables avec Openoffice.
Ne reste qu’à changer la batterie du portable, totalement morte, elle.
Ce matin la dernière averse s’est arrêtée un quart d’heure trop tard… Ma décision de ne pas faire le trajet velotaf en entier sous la pluie était prise et me voilà sur le quai de gare, avec le vélo tout de même, par temps presque sec. Mais il pleuvra pour le retour ce soir et mon équipement “intégral” (veste, pantalon de pluie et bottes en caoutchouc, on n’a rien trouvé de mieux pour garder les pieds secs) sera mieux adapté pour 23km sous le déluge…
Un thriller haletant inspiré d’une histoire vraie. Parfois dure, souvent touchante, toujours humaine. Et à la lumière de l’actualité de ce mois d’octobre 2023, on se demande si l’on s’en sortira un jour.
«En imposant aux utilisateurs d’iPhone un port propriétaire, Apple a sans doute réussi à retenir ainsi certains clients, et à éviter qu’ils ne passent à des téléphones de Samsung ou LG, tournant avec Android.»
Pas mal d’âneries dans cet article tout de même. Un bout câble empêcherait de “switcher” d’un système à une autre… Bof.
Et on en parle de la m…. de micro USB encore présent sur nombre d’appareils et dont on ne sait jamais dans quel sens le brancher (et qui m’oblige à sortir mes lunettes)?
«La coureuse de montagne a avoué la possession et l’utilisation des substances interdites dans le but d’améliorer sa performance sportive»
L’esprit de la montagne, tout ça… Ce que l’on me disait pour expliquer qu’il n’y avait pas de dopage à la Patrouille des glaciers. Jusqu’à ce qu’un vainqueur se fasse chopper. Et tout ça pour une petite gloriole locale et dans “le milieu”.
C’était lors d’un voyage en Calabre, au début des années 1990. Un pont, posé au milieu de nulle part. Quelqu’un avait été mandaté pour le construire. Pourquoi? Allez savoir, même si j’ai ma petite idée.
Toujours est-il qu’il était totalement inutile, sans rien avant, ni après.
«Joakim, je cherche un guide de montagne…» Au bout du fil hier soir, ma tante Marion, qui vit à Beudon, un domaine viticole qu’elle exploite au-dessus de la plaine du Rhône, dans le Valais suisse. Son téléphérique privé était en panne, après un déraillement du câble tracteur. Bien décidée à rejoindre son domicile à la marche, elle m’a demandé de l’accompagner, car le sentier est par endroits assez escarpé (mais je ne suis pas guide pour autant). Et il vaut en effet mieux bien regarder où l’on met les pieds…
On s’élève assez rapidement au-dessus de la plaine du Rhône.
Avec le bonsoir du bouquetin.
Le chemin «par les rochers» s’élève à partir du Vieux-Chêne, à Fully. Assez raide, il serpente dans le talus, passant devant une falaise prisée des grimpeurs, et offre une vue imprenable sur la plaine du Rhône.
Le pierrier avant la falaise.
Dans la falaise, la prudence s’impose.
Le passage dans la falaise est en effet un peu scabreux, mais des câbles fixes ont été installés et l’on chemine tout de même en sécurité. Rien à voir avec le chemin de notre enfance où nos parents n’hésitaient pas à nous emmener.
C’est le printemps…
Le car postal, qui peut vous emmener au départ du chemin ou presque.
Une jolie balade partagée à la tombée du jour, grâce à un téléphérique en panne. Avec pour ma tante et selon sa formule «un Sherpa pas cher» pour rentrer à la maison.
Bien arrivés à Beudon!
La cause de la panne: le câble tracteur de gauche a déraillé (il pend en bas à gauche de l’image).