Course à pied dans les vergers ce midi. Moins mal aux jambes que d’habitude et même du plaisir à courir aujourd’hui 😉

Une vie de cycliste, avec et sans vélo.
Reprise des petites sorties de course à pied. Il faisait trop beau pour m’enfermer à la cave sur un home trainer et j’espérais ne pas avoir trop mal aux jambes… Mais je ne suis pas assez assidu et régulier pour éviter ce genre de problème 🤷♂️
Coucher de lune sur le Haut de Cry et les châteaux de Sion ce matin.
Derniers rayons de soleil sur les pistes à Ovronnaz, dans le Valais suisse.
J’ai demandé à la lune… de m’accompagner. Velotaf hivernal par -7 degrés hier matin, mais belle ambiance.
Quel mot pour 2025?
Nicholas Bate encourages us to choose our word for next year.
Ce matin j’ai failli cliquer sur «Résilier» l’abonnement au quotidien régional Le Nouvelliste, auquel je suis fidèle depuis que j’y ai travaillé, entre 1998 et 2010.
Le traitement de certains sujets que je connais bien, notamment en lien avec le vélo et la mobilité, le journalisme « porte-voix » où tous les avis se valent, même quand il s’agit de faits vérifiables, le manque d’introspection par rapport à certains commentaires (j’ai vu des articles supprimés sans explication après les avoir commentés), l’absence de retour dans ces mêmes commentaires, le mauvais fonctionnement du site internet, la lecture peu confortable de la version numérique (même pour les abonnés), la pub et le pistage omniprésents (il faut sans cesse refuser les cookies de dizaines de «partenaires»), les commentaires sur les réseaux sociaux qui devient des articles…
“Comment éviter les “fausses bonnes affaires” et arnaques du Black Friday?”
Pour ne pas se laisser piéger, la méthode la plus fiable est de…
ne rien acheter?
Article original: Comment éviter les “fausses bonnes affaires” et arnaques du Black Friday? – rts.ch – Suisse
Mais il n’est pas question d’en faire profiter les assurés qui ont payé ces taxes de leur poche. Pour Santésuisse, le versement de ces millions dans les réserves représente «la moins mauvaise solution».
Pour les assureurs, l’argent dans leur poche est toujours « la moins mauvaise solution ». Carrément la bonne, on dira.
Article original: Panique dans le système de santé: les centres d’urgences médicales risquent la faillite – Le Temps