Savoir-vivre

Quand je suis à vélo et que les marcheurs ne me disent pas bonjour, je pensais bêtement que c’est parce que j’étais à vélo…Aujourd’hui j’ai constaté que certains marcheurs ne disent pas non plus bonjour aux marcheurs.

 

Un supermarché des Pays-Bas lance la caisse lente pour prendre le temps de parler

Ça nous change du « self-scanning » forcené…

Ces « kletskassa’s » permettent aux clients de prendre le temps de bavarder, d’échanger les nouvelles, tout en mettant les courses dans le chariot. L’initiative s’adresse avant tout aux personnes âgées mais chacun peut en profiter.

Source: Un supermarché des Pays-Bas lance la caisse lente pour prendre le temps de parler

Le critique de vins, une subjectivité assumée – Le Temps

> «Certains sujets s’imposent d’eux-mêmes: c’est le cas du champagne, qui fait l’objet d’un dossier chaque année avant les Fêtes dans le T Magazine. Dans ce cas précis, l’intérêt est aussi économique. Il s’agit d’attirer la publicité des grandes maisons de champagne. Ni les sujets à traiter ni les cuvées à sélectionner ne sont imposés. Mais la liberté n’est pas totale, impossible de parler des meilleurs vins effervescents de Suisse dans ce genre de numéro: les Champenois sont particulièrement jaloux de leurs bulles.»

Cela a le mérite de la transparence, mais ce qui serait bien, ce serait de prévenir les lecteurs dans le “T Magazine” lui-même. Je n’ai jamais compris la logique qui ferait d’un produit construit sur une relation “donnant-donnant” entre rédaction et publicité un journal crédible pour le lecteur.

Lire sur le site du Temps: [Le critique de vins, une subjectivité assumée – Le Temps](https://www.letemps.ch/opinions/critique-vins-une-subjectivite-assumee)

Non sécurisée, une smartwatch bon marché révèle la position et les données de 5000 enfants

Vouloir “tracer” vos enfants n’est peut-être pas une si bonne idée. Pour cette raison parmi d’autres.

«Cet objet connecté permet aux parents de suivre la géolocalisation de leur enfant, d’effectuer des appels vocaux et de recevoir des notifications lorsque leur progéniture quitte une zone prédéfinie, explique ZDNet. Et ce grâce à un système d’appareillage entre la montre et le smartphone du parent. Problème : toutes ces informations sont également à disposition de pirates informatiques mal intentionnés.»

Source: https://cyberguerre.numerama.com/1965-non-securisee-une-smartwatch-bon-marche-revele-la-position-et-les-donnees-de-5000-enfants.html

Aux États-Unis, Jésus, Marie et Joseph mis en cages

[www.courrierinternational.com/article/r…](https://www.courrierinternational.com/article/religion-aux-etats-unis-jesus-marie-et-joseph-mis-en-cages)

Pendant plusieurs mois, les vidéos de familles séparées et d’enfants retenus dans des centres de détention sous-équipés avaient choqué le monde entier, poussant le président Donald Trump à mettre fin à ses pratiques par décret. Mais comme le rapportait le New York Times en juillet dernier, les séparations ont continué malgré tout, en catimini.

Risquer de mourir pour 50 francs: qui sont les irresponsables?

Le National veut une taxe de 50 francs pour toute admission aux urgences – rts.ch – Suisse

Tout frais du jour et pas sûr que ce soit une bonne nouvelle pour tout le monde.

La proposition entend imposer une taxe de 50 francs pour toute admission aux urgences hospitalières. Celle-ci ne serait pas imputée sur la franchise ou la participation aux coûts. Les enfants et les adolescents, de même que les patients envoyés par un médecin et les malades dont le traitement nécessite par la suite une hospitalisation, pourraient en être exemptés.

Et comment on fait pour savoir à l’avance si ce qu’on a est grave ou pas?

En août 2017, j’avais une douleur au niveau des côtes. Comme j’en avais déjà cassé quelques unes par le passé, je ne me suis pas trop inquiété, vu que le traitement consiste surtout à ne rien faire.

Je ne suis pas rendu aux urgences avant trois jours.

Mais j’y étais allé tout de même. Verdict: embolie pulmonaire et j’aurais d’û y aller plus tôt.

Aujourd’hui, avec 50 francs à payer en plus d’avoir peur de « déranger » les urgences pour rien, j’aurais peut-être attendu un ou deux jours de plus.

Et je serais peut-être mort.