Microsoft et la merdification de tout

Aujourd’hui, j’ai une collègue qui se plaint de problèmes de «mise en page» dans Microsoft Word. Comme je suis sur Mac, je ne peux que compatir, sans lui suggérer d’essayer avec Pages (livré avec chaque Mac), mais en lui rappelant que la mise en page et Word, ça fait deux et que c’est une sinistre bouse dans ce domaine (et pour le reste aussi).

Je me dis qu’elle pourrait peut-être utiliser Publisher (qui est aussi une bouse, mais tout de même mieux adaptée à de la «mise en page»). Sauf qu’aujourd’hui même, dans un courriel qui annonce la fin de Skype, Microsoft explique aussi arrêter les frais avec Publisher, conseillant d’utiliser Microsoft Word, PowerPoint ou Designer dans le cadre d’Office 365 (sur abonnement évidemment.)

Continuer la lecture de « Microsoft et la merdification de tout »

Suprenant, cet Apple Photos

Ces derniers temps, j’ai souhaité me «déconnecter» quelque peu, notamment de certains services «cloud» pour réintroduire un peu de lenteur et de distance avec plein de choses. Ainsi, j’ai rapatrié et regroupé (grâce à Power Photos, une application assez remarquable aussi) une bonne partie de mes images dans une bibliothèque Apple Photos locale. La bibliothèque iCloud ne me sert plus qu’à enregistrer/synchroniser un petit mois d’images faites avec le téléphone.

Même si mes images sont toutes archivées sur un disque externe avec des dossiers et sous-dossiers par mois et années, j’ai conservé cette bibliothèque Photos locale qui compte à ce stade plus de 50 000 images pour un poids de plus de 525 Go.

J’avais un peu peur d’un tel volume, mais suis assez bluffé par la capacité de Photos gérer cela. Le démarrage de la bibliothèque est instantané (sur un MacStudio M1 Max comme sur un iMac M1) et le fonctionnement est d’une fluidité remarquable. Aucune lenteur, aucun accroc, pas d’attente de vignettes à générer, rien.

Alors oui, ou non, on ne sait pas vraiment comment Photos stocke ses images dans sa bibliothèque. Mais son interface est tellement simple et fluide pour gérer les images que je me moque un peu de son organisation interne.

Je suis d’ailleurs tellement bluffé par les performances de catalogage de Photos que je me suis lancé dans l’indexation (sans importer les images dans la bibliothèque, mais en les référençant, comme le feraient Lightroom ou Peakto) de toutes les images sur mon disque externe. Un bon paquet depuis le début des années 2000. Work in progress…

Synchroniser un disque local avec un emplacement en ligne (Infomaniak kDrive), c’est simple… Jusqu’au jour où tu changes de disque local, faute de place sur l’ancien.

Alors oui, il y a deux To de données, mais c’est toujours un peu flippant quand rien n’a l’air de bouger et que tu ne sais pas si le système est en train de te créer des doublons partout.

Apple Photos

Migration en cours de ma photothèque iCloud vers une bibliothèque d’archives locale, grâce à PowerPhotos. Ça marche vraiment bien. Et la bibliothèque Photos d’Apple est à mon avis terriblement sous-cotée. En ce moment, elle contient 42748 photos et 886 vidéos pour quelque 440 gigas de données. L’ouverture est instantanée sur mon MacStudio et le fonctionnement d’une fluidité remarquable.

Un peu de ménage dans mes images

J’ai longtemps utilisé Flickr pour quelques archives et partages de photos en ligne. Mais l’augmentation des tarifs, notamment pour les associations, et mes difficultés à trouver une organisation qui me convienne entre images privées, publiques et partagées, m’ont incité à utiliser les services de Smugmug (qui a d’ailleurs racheté Flickr).

Mais là, malgré toutes les qualités de la plateforme, c’était un peu «too much» pour mes modestes besoins: publier quelques galeries en ligne et en partager d’autres en mode «privé», par exemple avec un groupe de jeunes vététistes du Vélo Club Excelsior de Martigny, ou des amis.

J’ai ainsi tenté une installation de Piwigo sur mon hébergement web existant, ce qui fut assez facile avec l’installateur automatique prévu par mon hébergeur, Swisscenter.

Aujourd’hui, la plupart des galeries sont en ligne, «chez moi» et Piwigo est ma foi assez puissant, notamment pour régler les droits d’accès aux différentes galeries. Jusqu’ici, tout va bien 😉
Je garde tout de même Pixelfed pour le côté « social».

Retour du blog “à la maison”

Ceci était mon premier blog (enfin, je ne sais plus trop si j’ai commencé avec bikinvalais.ch ou cet espace plus personnel voilà une quinzaine d’années) et il a connu diverses “maisons”.

Déjà sous joakim.faiss.com, puis sur un hébergement micro.blog (micro.faiss.com), une plateforme fort sympathique et efficace, mais une de plus…

J’ai donc décidé de le rapatrier “chez moi”. Propulsé par WordPress, avec un thème simple et sans fioritures, le but étant de publier mes billets en toute simplicité. Celui-ci étant une sorte de rappel à moi-même 😉

Retour à Obsidian

Obsidian pour écrire et avoir des fichiers synchronisés entre Mac, Linux, iPhone et iPad, je pense que c’est difficile de faire plus puissant et efficace. Je suis les traces de Thierry Crouzet.

De plus, comme j’avais un compte “early bird”, la synchronisation par les serveurs d’Obsidian coûte 24$ par an, soit moins de 2 francs suisses par mois. Je prends, pour la simplicité et la tranquillité d’esprit.

 

L’intelligence artificielle pour les images de vélo…

Instruction: « Une personne faisant de la mécanique sur son vélo ». Le résultat fait un peu peur tout de même…

Elle fait quoi la dame exactement sur ce vélo au cadre un peu étrange?

Ai bike bofbof 4.

Et lui, je ne sais pas ce qu’il va visser avec son air bizarre…

Ai bike bofbof 3.

La chaîne, à cet endroit, ça va faire mal…

Ai bike bofbof 2.

Quelqu’un va se casser la figure avec ce vélo et après cette intervention…

Ai bike bofbof 1.

Bref, le vélo est un engin simple, mais encore trop compliqué pour l’IA qui n’a rien d’intelligent 😉 

Pourquoi les appareils photo ne disposent-ils pas d’une puce GPS?

« Le marché s’effondre par ses deux bouts : le prix moyen des compacts s’envole certes à 240 €, sous l’effet du succès des compacts “experts”, mais celui des reflex atteint péniblement 330 €. Les appareils mirrorless représentent le seul horizon d’une industrie broyée par le smartphone.»

Personnellement, j’aime bien avoir un compact en plus de mon téléphone quand je voyage à vélo. Le téléphone me sert pour afficher la carte et il est branché sur une batterie externe, sinon il ne tient pas la journée. Et c’est assez pénible de le débrancher tout le temps pour prendre des photos. Sans parler de son usage avec des gants.

Le seul truc qui me manque vraiment sur mon compact, c’est la localisation des images. Pratique pour retrouver des images par lieux et les afficher sur la carte de mon parcours. Mais, les appareils dotés d’une puce GPS sont extrêmement rares. C’est si compliqué d’ajouter une puce présente dans tous les téléphones?

Article original: Les fabricants d’appareils photo vendent toujours moins, toujours plus cher | MacGeneration

Twitter en lecture seule

Je n’ai pas encore bouclé mon compte Twitter, peut-être par nostalgie, mais ça ne saurait tarder. Entre-temps, je passe en mode «consultation», bien aidé par @netnewswire qui permet de s’abonner à son flux, mais aussi a des comptes particuliers. Twitter sans le bruit en quelque sorte.

Capture d'écran du logiciel Netnewswire sur Mac.